Accueil / Monde / International / Israël - Hamas : le point au 14e jour de guerre
International
IsraĂ«l - Hamas : le point au 14e jour de guerre
Offrir l'article
Lire + tard
Imprimer
Favori
Commenter
On fait le point sur la guerre entre IsraĂ«l et le Hamas, qui entre aujourd’hui dans son 14e jour. Mardi soir, un tir a eu lieu sur l’hĂŽpital de la ville de Gaza, dont IsraĂ«l et le Hamas se rejettent la responsabilitĂ©. Il y a Ă©galement des incertitudes sur la rĂ©alitĂ© des chiffres, le Hamas affirmant que ce bombardement a provoquĂ© la mort de 471 personnes, tandis qu’une source europĂ©enne de renseignement Ă©voque pour l’AFP plusieurs dizaines de morts. Le prĂ©sident des États-Unis, Joe Bide[...]

Connectez-vous pour lire l'article complet !

Vous ĂȘtes dĂ©jĂ  abonnĂ©s ?
S'abonner
Une vidéo de la rubrique « International »
Un article de :

Sarah Massiah

Présenté par :

Céline Remplon

Commentaires
Ajouter un commentaire
par lc.tmn
24/10/2023 12h05
💔 Elle avait 13 ans et elle avait un rĂȘve : devenir chanteuse quand elle serait grande. Mais les bombardements incessants d’IsraĂ«l sur la bande de Gaza en ont dĂ©cidĂ© autrement. Hala Abu Sa’da a Ă©tĂ© tuĂ©e aprĂšs que sa maison, situĂ©e dans le camp de rĂ©fugiĂ©.es de Jabalia, au nord de Gaza a Ă©tĂ© la cible d’une bombe lancĂ©e par les forces d’occupation israĂ©liennes. Sa mĂšre et sa soeur ont Ă©galement perdu la vie suite Ă  cette attaque. Hala rĂ©alisait des vidĂ©os en langue des signes pour enseigner et divertir les enfants sourds. Cette vidĂ©o est la derniĂšre que Hala a chantsignĂ© avant sa mort (*). Selon Tamer Institue, une association caritative qui la soutenait, elle aimait le thĂ©Ăątre, la photographie et la danse (dabkeh). Hala est l’une des 2055 enfants tuĂ©.es en 2 semaines dans les bombardements (source : ministĂšre palestinien de la santĂ©). Qu’est-ce que la communautĂ© internationale attend pour exiger un cessez-le-feu ? 💔 *Lien de la vidĂ©o :
RĂ©pondre
par lc.tmn
24/10/2023 11h12
Depuis 15 jours, mon feed est divisĂ© en deux catĂ©gories : celles et ceux qui n’ont pas le choix, qui ne peuvent pas ignorer le gĂ©nocide parce qu’il touche leurs familles, leurs amis, leur sang, qui ne dorment plus, qui ne pensent qu’à ça, qui ne parlent que de ça. Et celles et ceux qui ont le choix, et qui choisissent de se taire. Je n’ai pas de leçon Ă  donner. Auparavant, je ne connaissais rien Ă  la Palestine, je ne savais pas pas ce qu’étaient l’antiracisme ni le droit Ă  l’autodĂ©termination. Comme tout privilĂ©giĂ©, j’étais loin du front, je pouvais regarder ailleurs. Je connais ce malaise diffus quand on sent qu’il se passe quelque chose de grave mais qu’on ne sait pas quoi dire, on se dit que c’est compliquĂ©, on connaĂźt mal le sujet et on a peur de dire une bĂȘtise. Quand on peut se permettre d’oublier Ă  cause du quotidien. Et les journĂ©es trop remplies, et la vie qui file. Mais aujourd’hui un peuple entier meurt sous les bombes. Dans le silence de nos mĂ©dia et de nos influenceurs, avec la bĂ©nĂ©diction de nos gouvernements. Sous nos yeux, pour peu que nous voulions regarder, nous qui avons le choix. Nous devons parler. Se taire maintenant, c’est laisser faire. C’est confirmer que toutes les vies ne se valent pas, que certains parmi nous sont moins que d’autre. C’est Ă©chouer en tant que camp politique, en tant que nation, en tant que civilisation. Si vous ne savez pas quoi dire, relayez les personnes concernĂ©es. Acceptez d’apprendre. Suivez @rimamobarak https://www.instagram.com/rimamobarak/, @fatima_ouassak https://www.instagram.com/fatima_ouassak/, @sally https://www.instagram.com/sally/, @tsdkcollectif https://tsedekdecolonial.wordpress.com/, @hala_luz https://www.instagram.com/hala_luz/, @histoires_crepues https://www.instagram.com/histoires_crepues/, @s_assbague https://www.instagram.com/s_assbague/, @jnounaliste https://www.instagram.com/jnounaliste/ Rejoignez les groupes d’action. Venez aux manifestations. Lisez, Ă©coutez, suivez, consultez, partagez. S’il vous plaĂźt, nous devons parler.
RĂ©pondre
par DM
21/10/2023 20h42
Article assez dĂ©cevant, loin de correspondre Ă  la qualitĂ© journalistique habituelle de votre mĂ©dia. En lisant votre contenu, une question m'est venue Ă  l'esprit : cherchez-vous vraiment Ă  rĂ©tablir la vĂ©ritĂ© historique, ou simplement Ă  comparer diffĂ©rentes sources et les prĂ©senter aux lecteurs ? Si c'est la deuxiĂšme option, n'importe qui pourrait le faire et je me demande quel est l'intĂ©rĂȘt, dans ce cas, de payer l'abonnement mensuel justement..
RĂ©pondre
par Sarah Massiah
30/10/2023 16h57
Bonjour, chaque semaine, MĂ©diaPi propose plusieurs formats : des actualitĂ©s (plus ou moins longues), des articles approfondis traduits en LSF, des reportages et des Ă©missions. Dans le cas de cette vidĂ©o, le sujet n’est pas l’historique du conflit (qui a Ă©tĂ© abordĂ© dans cet article : Comprendre les Ă©tapes du conflit israĂ©lo-palestinien) mais de reprendre les derniĂšres nouvelles au sujet de la guerre IsraĂ«l - Hamas, afin de transmettre les informations en langue des signes. Sarah Massiah, responsable de la rĂ©daction
RĂ©pondre
par lc.tmn
20/10/2023 19h11
👀📰 Je vous invite Ă  lire ces articles : 1. Vivre et revivre la nakba de Dima Srouji, 2001 sur Ballast https://www.revue-ballast.fr/vivre-et-revivre-la-nakba/, 2. Sortir de l'enfer de Mona Chollet https://www.la-meridienne.info/spip.php?article22, 3. Le droit de rĂ©sister Ă  l'oppression de Alain Gresh https://orientxxi.info/magazine/gaza-palestine-le-droit-de-resister-a-l-oppression,6777, 4. Catalyse totalitaire de FrĂ©dĂ©ric Lordon https://blog.mondediplo.net/catalyse-totalitaire, 5. En finir avec l'aparthied est le seul chemin pour la paix https://www.revue-ballast.fr/israel-palestine-en-finir-avec-lapartheid-est-le-seul-chemin-pour-la-paix/
RĂ©pondre
par lc.tmn
20/10/2023 16h32
Je le redis ici : En France, la cause palestinienne ne concerne pas que les Arabes, ou les musulmans, ou les quartiers populaires...
RĂ©pondre
par lc.tmn
20/10/2023 16h32
Elle concerne toutes celles et ceux qui refusent l'apartheid, la sous-humanisation, les camps, les prisons à ciel ouvert, les murs de ségrégation, la spoliation de la terre et de l'eau, la privation des libertés et droits fondamentaux.
RĂ©pondre
par lc.tmn
20/10/2023 16h33
En France, elle nous concerne d'autant plus que l'Etat français, en notre nom à tous et à toutes, participe directement ou indirectement à l'oppression subie par le peuple palestinien.
RĂ©pondre
par lc.tmn
20/10/2023 16h34
La cause palestinienne est une cause universelle.
RĂ©pondre
par lc.tmn
20/10/2023 16h35
ChacunE peut soutenir Ă  son niveau, Ă  son Ă©chelle, mĂȘme trĂšs modestement. Mais n'oublions pas cette cause Ă  l'heure oĂč le peuple palestinien est menacĂ© dans son entier et comme jamais.
RĂ©pondre
par lc.tmn
20/10/2023 16h28
Aucune alliance des luttes pour la justice ne se fera en France dans l'indiffĂ©rence d'un gĂ©nocide en direct, soutenu par l'Etat français et l'extrĂȘme-droite. Personne ne sera libre tant que la peuple palestinien ne le sera pas.
RĂ©pondre
par Ariel BENDAYAN
20/10/2023 13h57
Je suis trĂšs déçu du professionnalisme. Propos du hĂŽpital bombardĂ© Ă  Gaza par exemple, vous semblez « essayer d’ĂȘtre neutre » en relayant ce que chacun cĂŽtĂ© dit sans chercher oĂč sont les faits rĂ©els. Le vrai journalisme n’est pas censĂ© de s’intĂ©resser Ă  la neutralitĂ© aveugle mais Ă  la vĂ©ridicitĂ©. A la prochaine article de ce genre je me dĂ©sabonne et je ne serai sĂ»rement pas le seul.
RĂ©pondre
par Sarah Massiah
21/10/2023 16h31
Bonjour, l’équipe de MĂ©diapi cherche toujours Ă  ĂȘtre au plus prĂšs de la vĂ©ritĂ©, au plus prĂšs des faits. En ce qui concerne le bombardement de l'hĂŽpital de Gaza, au moment de la rĂ©daction du texte et du tournage, il existait encore des incertitudes sur l’origine de l’explosion. Aujourd’hui encore, il s’avĂšre que seule une enquĂȘte approfondie et indĂ©pendante pourrait attester l’origine. Dans une guerre, il y a aussi une bataille de l’information, oĂč chacun des camps va essayer d’utiliser les faits Ă  son avantage. C’est pourquoi nous avons mis les chiffres relatifs aux victimes selon deux sources diffĂ©rentes, et leur diffĂ©rence tĂ©moigne qu’il y a un dĂ©calage, ce qui montre au public que ces chiffres sont Ă  manier avec prĂ©caution. Sarah Massiah, responsable de la rĂ©daction
RĂ©pondre